Bonsoir chère madame,
Je viens de terminer votre livre et je voulais vous remercier pour ce beau témoignage et cette réflexion que vous menez sur les familles désunies. On se rend bien compte à vous lire le poids de souffrance que vous avez supporté par le luxe de détails et les mots que vous utilisez que l'on trouve bien dans le dictionnaire mais que peu de personnes emploient maintenant. Pour cela il y a du Balzac dans votre façon d'écrire! On voit bien que la lecture vous a donné une carapace capable de vous protéger un minimum. vous avez été profondément marquée, tout de même, pour en écrire un tel livre des dizaines d'années après être sortie de l'enfer que votre maman vous a offert! J'ai du mal à comprendre comment une personne peut devenir si enragée contre l'auteur de ses propres enfants au point de vouloir les utiliser dans son désir de vengeance. C'est incompréhensible. Par contre votre volonté de ne pas rompre avec votre mère au point d'avoir réussi à vous réconcilier avec elle sur la fin de sa vie est un bel acte de charité et a, sans nul doute, facilité votre propre construction et votre apaisement, c'est très beau! félicitations! c'est un bel exemple pour nous tous à commencer par vos propres enfants.
Je retrouve dans mon épouse des traits de votre maman en moins violent, peut-être, mais de façon plus hypocrite et pas forcément moins destructeur pour les enfants. Je retrouve ce côté "Sainte Nitouche" que votre maman savait montrer en public et qui trompe tous les étrangers à son intimité avec nos enfants: frères, sœurs, amis, connaissances, avocats mais là ils y trouvent naturellement leur intérêt puisque plus cela dure et mieux c'est pour le "tiroir caisse": jamais le bien de la famille en tant que tel ne les effleure: c'est les droits de MA cliente, point barre!
Les travers de la "Justice" que vous dénoncez avec vigueur sont peut-être pires maintenant qu'à votre époque car les postes de juges, d’avocats, d'assistances sociales, à de rares exceptions près, sont tenus maintenant par des militantes féministes qui donnent tout aux femmes. De plus les lois ont été revues en leur faveur; ainsi la séparation est devenue un droit intangible avec interdiction d'en connaître les raisons. Les enfants sont confiés aux mamans, la non présentation d'enfants est classée systématiquement sans suite quand la police accepte de prendre les plaintes. La police ne se déplace jamais. La pension alimentaire non payée est prélevée sur le salaire par les huissiers et si le père fait de la résistance comme votre papa, les enfants "demandent" (poussés par la mère bien entendu) à être entendus par la juge et les droits sont systématiquement diminués pour le père car ils demandent à rester avec la mère. A partir de 12 ans c'est eux qui décident chez qui ils veulent aller et ils se trouvent dans le même dilemme que vous quand l'assistante sociale après son enquête bâclée vous a demandé en présence de votre mère chez qui vous vouliez aller et la réponse est toujours la même: avec maman pour les raisons que vous avez fort bien montrées: ne pas perdre maman!! ( et pouvoir rentrer chez soi: le domicile familial étant confié à la mère et le père a droit à une convocation à la gendarmerie pour "violation de domicile" s'il rentre dans son jardin: situation vécue!!)
Franchement, je vois une dégradation depuis votre époque de ce côté. Il reste les groupes de paroles avec les associations mais c'est une maigre compensation et ne solutionnent absolument pas le problème des enfants.
Heureusement en grandissant, ils finissent comme vous par se rendre un peu compte mais il y a toujours cette volonté de ne pas couper avec la mère et pour cela il ne faut pas voir papa trop souvent!
Pour revenir à votre livre, je suis frappé par votre réflexion à l'âge de 9 ans et le fait que vous culpabilisiez vis à vis de votre père. Les réflexions que vous transcrivez me paraissent bien fortes et matures pour un enfant de cet âge. Ne pensez-vous pas que cette réflexion est faite des années après les événements et ne pensez-vous pas qu’inconsciemment vous mettez votre réflexion d'adulte dedans sans vous en rendre compte, bien sûr?
Voilà, sinon encore bravo et félicitations pour votre courage.
Votre témoignage est capital pour nous les pères qui sommes injustement rejetés à la demande de la mère et avec le "bénédiction" de la "Justice".
Une femme qui défend son père contre sa mère avec autant de justesse! Merci de tout cœur. Superbe témoignage!
Suite aux mêmes mésaventures que dans votre témoignage, je suis devenu adhérent à SOS PAPA et j'ai été frappé par le nombre des pères qui sont bafoués.
Je m'attendais à rencontrer des pères hystériques ou violents et quelle n'a pas été ma surprise de constater que tous ces pères n'avaient qu'un souhait: pouvoir s'occuper de leurs enfants et pouvoir leur donner le bonheur auxquel ont droit les propres enfants.
Je fais partie de l'UDAF pour une autre association mais SOS PAPA étant reconnu au niveau de l'UNAF, il serait possible de pouvoir entrer dans toutes les UDAF de France et ainsi pouvoir faire progresser nos demandes.
A ce sujet la première demande des pères c'est d'obtenir une loi instituant la garde alternée systématique ce qui rétablirait un minimum d'égalité et de traitement entre le père et la mère.
J'y ajouterai une seconde demande c'est d'autoriser celui qui ne demande pas la séparation a obtenir de façon systématique la garde des enfants et le logement familial sauf bien évidement s'il y a des raisons graves et recevables s'y opposant. En effet, aujourd’hui la séparation est un droit et il est interdit d'en demander les raisons. Pourquoi alors chasser le père qui ne demande rien du domicile familial??
Voilà! encore bravo!
Pourquoi tant de haine, je n'arrive pas à comprendre!!
Je viens de terminer votre livre et je voulais vous remercier pour ce beau témoignage et cette réflexion que vous menez sur les familles désunies. On se rend bien compte à vous lire le poids de souffrance que vous avez supporté par le luxe de détails et les mots que vous utilisez que l'on trouve bien dans le dictionnaire mais que peu de personnes emploient maintenant. Pour cela il y a du Balzac dans votre façon d'écrire! On voit bien que la lecture vous a donné une carapace capable de vous protéger un minimum. vous avez été profondément marquée, tout de même, pour en écrire un tel livre des dizaines d'années après être sortie de l'enfer que votre maman vous a offert! J'ai du mal à comprendre comment une personne peut devenir si enragée contre l'auteur de ses propres enfants au point de vouloir les utiliser dans son désir de vengeance. C'est incompréhensible. Par contre votre volonté de ne pas rompre avec votre mère au point d'avoir réussi à vous réconcilier avec elle sur la fin de sa vie est un bel acte de charité et a, sans nul doute, facilité votre propre construction et votre apaisement, c'est très beau! félicitations! c'est un bel exemple pour nous tous à commencer par vos propres enfants.
Je retrouve dans mon épouse des traits de votre maman en moins violent, peut-être, mais de façon plus hypocrite et pas forcément moins destructeur pour les enfants. Je retrouve ce côté "Sainte Nitouche" que votre maman savait montrer en public et qui trompe tous les étrangers à son intimité avec nos enfants: frères, sœurs, amis, connaissances, avocats mais là ils y trouvent naturellement leur intérêt puisque plus cela dure et mieux c'est pour le "tiroir caisse": jamais le bien de la famille en tant que tel ne les effleure: c'est les droits de MA cliente, point barre!
Les travers de la "Justice" que vous dénoncez avec vigueur sont peut-être pires maintenant qu'à votre époque car les postes de juges, d’avocats, d'assistances sociales, à de rares exceptions près, sont tenus maintenant par des militantes féministes qui donnent tout aux femmes. De plus les lois ont été revues en leur faveur; ainsi la séparation est devenue un droit intangible avec interdiction d'en connaître les raisons. Les enfants sont confiés aux mamans, la non présentation d'enfants est classée systématiquement sans suite quand la police accepte de prendre les plaintes. La police ne se déplace jamais. La pension alimentaire non payée est prélevée sur le salaire par les huissiers et si le père fait de la résistance comme votre papa, les enfants "demandent" (poussés par la mère bien entendu) à être entendus par la juge et les droits sont systématiquement diminués pour le père car ils demandent à rester avec la mère. A partir de 12 ans c'est eux qui décident chez qui ils veulent aller et ils se trouvent dans le même dilemme que vous quand l'assistante sociale après son enquête bâclée vous a demandé en présence de votre mère chez qui vous vouliez aller et la réponse est toujours la même: avec maman pour les raisons que vous avez fort bien montrées: ne pas perdre maman!! ( et pouvoir rentrer chez soi: le domicile familial étant confié à la mère et le père a droit à une convocation à la gendarmerie pour "violation de domicile" s'il rentre dans son jardin: situation vécue!!)
Franchement, je vois une dégradation depuis votre époque de ce côté. Il reste les groupes de paroles avec les associations mais c'est une maigre compensation et ne solutionnent absolument pas le problème des enfants.
Heureusement en grandissant, ils finissent comme vous par se rendre un peu compte mais il y a toujours cette volonté de ne pas couper avec la mère et pour cela il ne faut pas voir papa trop souvent!
Pour revenir à votre livre, je suis frappé par votre réflexion à l'âge de 9 ans et le fait que vous culpabilisiez vis à vis de votre père. Les réflexions que vous transcrivez me paraissent bien fortes et matures pour un enfant de cet âge. Ne pensez-vous pas que cette réflexion est faite des années après les événements et ne pensez-vous pas qu’inconsciemment vous mettez votre réflexion d'adulte dedans sans vous en rendre compte, bien sûr?
Voilà, sinon encore bravo et félicitations pour votre courage.
Votre témoignage est capital pour nous les pères qui sommes injustement rejetés à la demande de la mère et avec le "bénédiction" de la "Justice".
Une femme qui défend son père contre sa mère avec autant de justesse! Merci de tout cœur. Superbe témoignage!
Suite aux mêmes mésaventures que dans votre témoignage, je suis devenu adhérent à SOS PAPA et j'ai été frappé par le nombre des pères qui sont bafoués.
Je m'attendais à rencontrer des pères hystériques ou violents et quelle n'a pas été ma surprise de constater que tous ces pères n'avaient qu'un souhait: pouvoir s'occuper de leurs enfants et pouvoir leur donner le bonheur auxquel ont droit les propres enfants.
Je fais partie de l'UDAF pour une autre association mais SOS PAPA étant reconnu au niveau de l'UNAF, il serait possible de pouvoir entrer dans toutes les UDAF de France et ainsi pouvoir faire progresser nos demandes.
A ce sujet la première demande des pères c'est d'obtenir une loi instituant la garde alternée systématique ce qui rétablirait un minimum d'égalité et de traitement entre le père et la mère.
J'y ajouterai une seconde demande c'est d'autoriser celui qui ne demande pas la séparation a obtenir de façon systématique la garde des enfants et le logement familial sauf bien évidement s'il y a des raisons graves et recevables s'y opposant. En effet, aujourd’hui la séparation est un droit et il est interdit d'en demander les raisons. Pourquoi alors chasser le père qui ne demande rien du domicile familial??
Voilà! encore bravo!
Pourquoi tant de haine, je n'arrive pas à comprendre!!